Calle Santa Rita

Parmi les nombreuses rencontres aussi virtuelles qu’inattendues provoquées par ce blog, l’une de celles qui me touchent le plus me vient d’Argentine, portée à bout de bras par Luis de Buenos Aires. Elle a fait suite à un message sur Marie Laforêt il y a 3 mois dans lequel je révèlais ce que je croyais alors être un subtil mélange de passion dévorante unique et connaissance quasi universelle de la dame, sa vie, son oeuvre. Naïf que j’étais.

La première réaction de blogueur impudique que je suis fut de publier ici nos échanges, après autorisation de Luis obtenue immédiatement. Ce que je ne ferai pas aujourd’hui pour profiter encore longtemps du plaisir égoïste de lire des messages touchants qui ne regardent finalement peut-être que moi. Luis m’a fait découvrir la carrière moins commerciale de Marie, celle que je ressentais mais ignorais. D’anecdotes en photos, de liste de morceaux inédits en fichiers mp3, il m’accompagne dans la Reconnaissance de celle que j’avais tant aimé. Pour ne pas fâcher la SACEM, je ne joins pas ici le titre "l’automne rêve aux lilas" : dommage, le morceau vaut le détour ne serait-ce que pour la performance vocale qui fait voler en éclat la théorie d’une Marie "plus interprête que chanteuse".  

Il est des moments où je déteste le temps que je ne maîtrise pas assez pour échanger plus souvent avec Luis et lui dire à quel point je suis content de le compter parmi mes amis. Que ce message en soit au mons un témoignage.

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