Boucheron ou quand bloguer peut mener à tout

Je me dois de rassurer mes proches en préambule : ici, c’est le vrai Eric Maillard. Juste un tout petit peu changé. Tendance bling bling vous voyez ? Bref, je me suis tout récemment découvert une passion pour la Haute Joaillerie et des bijoux dont j’ignorais jusqu’à il y a peu de temps l’existence. Tout ce que j’en avais vu, c’était sur le doigt de Nicolas Cage dans Sailor et Lula. Ce que j’en ai appris, c’est donc des tonnes de choses, grâce à un programme « délits d’initiés » qui me semble au passage être l’une des plus belles opérations blogueurs de ces derniers mois. Il parait que les journalistes ont droit au même parcours mais c’est tellement coloré de participatif, co-création et discussions que ça aurait pu être créé pour nous. Boucheron a 150 ans et ça va se savoir (c’est mon côté Sylvain Monceau pour les plus pointus).

Boucheron 150 ans

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Breaking News

Enfin une émission avec un concept fort. Ca s’appelle Breaking news, c’est animé par notre chouchou Bruce Toussaint et c’est sur Jimmy jeudi soir à 22h35, rediffusé samedi et dimanche. De l’audience de ce premier numéro dépend la production d’un deuxième. Soutenons Bruce malgré sa baisse de régime le matin depuis le début de la semaine (ou c’est nous peut-être, la baisse de régime ??).

Enchaîné

Cool. une chaîne de blogueurs. Ca faisait longtemps. Celle-ci passe par moi grâce à Cyril. Le principe : 6 choses totalement inintéressantes sur moi. Spontanément, j’ai envie de répondre : voir mes 6 dernières notes. Mais on me dit dans l’oreillette que ça ferait mauvais esprit alors je m’éxecute.

  1. A 3 ans j’étais sur des skis, 10 ans que ça ne m’est plus arrivé (je pleure)
  2. Je ne regarde quasiment plus la télé depuis près d’un an (mais ça va changer, la Nouvelle Star revient)
  3. Je déteste le fromage et mon plat préféré est la fondue savoyarde (va comprendre Charles)
  4. Je suis né petit potelé avec des cheveux fins et frisés (« on ne change pas » – Céline Dion – 1998)
  5. Je bois 2 litres de Coca Light par jour (si mon coach lis ça je suis mort)
  6. Je suis totalement organisé dans mon boulot et totalement désorganisé dans ma vie (c’est con que ça s’arrête là, ça devenait intéressant…)

Il faut que je trouve 6 victimes. Les nominés sont Sandrine, Mélissa et Aurélien, Raphaël  et Myriam (pour faire voyager la chaîne à travers le monde), Jean-Christophe et Pierre-Philippe pour le challenge (pas simple à glisser dans leurs blogs respectifs).

Premier degré s’abstenir

Pourquoi j’ai accepté un truc pareil (voir la bannière en haut à droite) ? Parce que ça m’a été demandé très gentiment, parce que je ne déspespère pas de faire créer une catégorie sénior des plus de 35 ans (tout seul, je gagne, c’est sûr), parce que quelques-uns de mes potes ont accepté aussi (même si je m’aperçois maintenant que mes potes du web, ils sont vraiment bogosses ces enfoirés), parce que je ne savais pas quoi faire de mes photos ratées, parce que ma famille est probablement prête à croire que j’ai vraiment été sélectionné pour un quelconque potentiel… Ca fait suffisamment de raisons, ça, non ?

X Files Geekchic

Hier soir, c’était ma première Geekchic, organisée par Ravana et Fred de Mai. Une bonne occasion de croiser à peu près toute la blogosphère parisienne (et au-delà) et de passer une soirée sympa… jusqu’au jeté de cadeaux qui m’a envoyé directement à la case restaurant.

Parmi les événements de la soirée, j’ai eu le sentiment étrange de noter un flou artistique autour de moi, j’ai donc enquêté grâce à Richard, serial photographer en chef. Pas de doute, autour de moi, les gens ont eu une furieuse tendance à se flouter, seuls deux d’entre eux ont fini par trouver l’antidote.

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La vague Double Dutch

La déferlante Double Dutch ne fait que commencer en France, le Journal du 20h00 de TF1 s’y est pourtant déjà intéressé à l’approche des championnats du monde qui se sont déroulés début novembre. Le Double Dutch, c’est un sport qui cartonne aux USA et en Allemagne, Hongrie et Belgique, qui balbutie en France mais bénéficie déjà de sa Fédé.  En version simplifiée, toutes les filles y ont joué dans les cours d’école : c’est la corde à sauter. Pour l’historique complet, je conseille la lecture de ce billet de Caroline. Très féminin même dans son évolution très physique à 2 cordes, c’est déjà un phénomène dans les cités et il y est beaucoup question de rythmique. Un titre a d’ailleurs participé à sa popularisation aux US dans les années 80.  

Ca vous rappelle quelque chose ? On pense naturellement au phénomène tecktonik qui a explosé cette année après avoir vécu 7 années de gros carton moins médiatisé. Son exposition au plus grand nombre (dans la StarAc et aujourd’hui récupéré par Lorie qui se fait un peu massacrer dans les commentaires sur Dailymotion). C’est néanmoins le déclencheur traditionnel pour voir les marques se jeter sur les effets de mode, ce qu’à d’ailleurs fait Nescafé pour Dolce Gusto avec Jamel.

Et parce que depuis quelques jours, grâce à « mademoiselle je mets des chansons dans la tête de tout le monde », je vais très très vite, je ne résiste pas au plaisir de vous en faire profiter aussi (allez, courage, vous n’en prenez que pour 15 jours).

Une merveilleuse semaine

Je ne sais plus qui remercier tellement cette semaine m’offre plein de beaux moments, comme ça, sans rien demander en retour, cadeau de la vie.

  • En vélo presque tous les jours, avec plein de nouveaux amis, j’ai une forme olympique et bientôt les cuisses de Lance Armstrong
  • Quelques vrais bons moments de rigolades dans le métro que je prends quand même parfois histoire d’éviter les cuisses qui ressemblent à celles de David Douillet. Avec un meilleur moment : le conducteur qui invite à chaque station les voyageurs qui sont montés ENTRE les rames à prendre conscience qu’ils ont 750 Volts sous les pieds et qu’ils prennent leur responsabilité… avant de redémarrer comme si de rien n’était.
  • De beaux rendez-vous à l’extérieur de Paris tôt le matin qui me remettent en mémoire cette merveilleuse époque du service militaire où je me levais à 4h00 du matin pour le fun, j’ai gagné 15 ans d’un coup
  • Enfin une soirée télé en semaine hier soir (et la télé le mardi soir, c’est vraiment super), tellement plus agréable que de partager des verres avec quelques amis lors de la soirée des Youtoyou
  • L’occasion qui m’est donnée de montrer à mes amis comment je peux être présent quand ça ne va pas, alors q’ils s’apprêtent à perdre leur contrat d’interim parce qu’ils habitent en banlieue et sont dans l’impossibilité de rejoindre la banlieue mais de l’autre côté de Paris depuis 1 semaine
  • La révélation sur moi-même : j’ai besoin d’être aimé, je n’aurais pas pu faire cheminot comme métier
  • Enfin je prends le temps de m’arrêter deux secondes pour me poser des questions : comment on peut faire pour dire qu’on n’est pas d’accord sans insupportable récupération politique ? Il me faudrait un ou deux jours de plus pour trouver la réponse siouplai.

Sinon, vous, ça va ?

Fuel For Life Factory : le premier parfum personnalisable par Diesel

A moins d’avoir séjourné ces deux derniers mois du côté de la planète Mars, il y a assez peu de risque d’être passé à côté du lancement du premier parfum Diesel, Fuel For Life : une occupation de terrain gigantesque initiée sur le net, puis en télé, affichage, en activation commerciale via des PLV géantes en magasin… L’ensemble déclinait une campagne détournant les codes habituels -très formatés- des parfums en osant le style retro-moderne. Une campagne qui a payé puisque, de la bouche même de Renzo Rosso, on apprend que Fuel For Life est devenu numéro 1 des ventes aussi bien sur le masculin que le féminin en 2 semaines.

Etant quelque peu impliqué dans cette phase de lancement, je m’étais interdit d’en parler à l’époque. Je peux aujourd’hui me rattraper puisque c’est l’équipe interne L’Oréal qui a brillamment pris le relais pour la dernière étape en date d’un lancement qui aura marqué l’année 2007 . Résultat : la Fuel For Life Factory, lancé le 22 octobre, est déjà largement relayée sur les blogs francophones mais aussi anglais, italiens, allemands, espagnols ou russes. C’est également l’occasion pour la presse de revenir sur la success story du lancement.

Le principe : 20.000 exemplaires du parfums sont proposés en version personnalisable parmi une combinaison de 150.000 possibilités de flacons en choisissant parmi 10 coloris de poche, 10 coloris de lanière ainsi que 10 types de logos gravés. Le tout sur un site permettant de visualiser le flacon en 360°, Le customisable ayant un prix, il faudra compter 80 € pour profiter de l’édition limitée forcément destinée à devenir collector.

De mon côté, j’ai choisi le mien, noir et or. Chic et moderne. Retro-moderne ?

5 raisons pour lesquelles je blogue

Une petite chaîne parce que ça faisait longtemps. Ca me vient de Gonzague qui l’avait eu d’Otto qui l’avait eu de Jean-Marie qui l’avait vu chez Stéphanie, bref une chaîne quoi. Alors la question du jour, c’est "5 reasons why I blog". Un truc parfait pour parler de moi, j’adore. Et une excuse pour linker plein de monde, ça c’est ma spécialité.

  1. Pour le travail : ça c’était au début et pendant 1 semaine. Parce que je me suis réveillé un matin il y a un peu plus de 2 ans en me disant qu’il se passait un truc et que je passais à côté. L’après-midi même, j’ouvrais un blog avec une ligne éditoriale de malade et totalement originale : point de vue sur les nouvelles sphères d’influence au sein de communautés sur le web. Wow.
  2. Pour le fun : j’aime bien écrire mais quand c’est juste pour le plaisir, je m’intéresse beaucoup plus à Desperate Housewives et Koh Lanta qu’aux enjeux sociéto-économico-stratégiques de la révolution digitale, ça c’est senti non ? Au bout de 2 jours de blog donc. Et je suis fier comme un paon quand on me présente comme une référence en matière de série télé US même si ça fait pas un métier tout ça.
  3. Parce que je suis totalement égocentrique et que je pense avoir un avis pertinent sur tout. A noter cependant au passage que quand on a un physique à faire de la radio, une voix à tenter la presse écrite et une plume digne de l’auteur du dernier Harlequin, le blog ressemble à un bon refuge. Et surtout, cet espace se prête plutôt pas mal à un exercice de style qui me plaît : placer une quantité de "je" par phrase inversement proportionnelle au nombre d’informations qui me révèleraient un peu.
  4. Pour les rencontres : c’était le plus inattendu, c’est ce qui explique l’existance de PRland plus de 2 ans plus tard. J’ai trouvé ce que je ne venais pas chercher : quelques amis (de ceux qu’on appelerait vers 4h00 du matin en cas de problème, si si) et pas mal de gens qui comptent (et qui peuvent m’appeler à 4h00 du matin mais autant le dire tout de suite, j’ai une efficacité réduite à cette heure là). Pour résumer, je blogue pour passer un max de coups de fil sur les coups de 4h00 du mat.
  5. Parce que, aussi paradoxal que ça puisse paraître étant donné le taux élevé de clients, prospects et de collègues parmi mes visiteurs, je me sens libre de pratiquer ici l’un de mes sports favoris : l’auto-dérision. Quitte à perdre un petit morceau de crédibilité à chaque post.

Pour aller jusqu’au bout de l’exercice, je dois passer le bébé à 5 collègues blogueurs. Je les ai rencontrés il y a quelques jours lors du dernier Paris blogue-t-il ? Je voulais fêter ça. Je savais pas comment. J’ai trouvé. D’autant qu’ils doivent détester les chaînes comme nous tous. Je m’assure donc une popularité éternelle auprès de Céline, Florian, Frogita, Stéphane et la panther. De rien, ça me fait plaisir.

Le buzz Ron et Adrian

Je le crois pas. J’étais au courant de cette interview (juste pour tester ma capacité à jouer les tombes). Je voyais l’un des deux ce week-end. Et j’étais passé complètement à côté de ça alors que tout le monde en parle. Je connais peu de monde capable de réaliser une première interview avec ce décalage là. Je suis très fier que l’interviewer soit mon ami. L’interviewé n’est pas mal non plus sur ce coup là, j’admets.