C’est tellement bon de disposer ici de plus de 140 caractères pour communiquer avec toi, cher Twitterland. Parce que tu me poses quelques problèmes qui ne tiennent pas dans un SMS de 2 lignes. A commencer par la difficulté à formuler une réponse persuasive à l’objection exprimée par beaucoup de ceux qui l’ont essayé (ou pas) : "je ne vois pas l’intérêt de dire ce que je fais à tout moment de la journée". Du coup, j’ai besoin de ton aide. Je vais tenter de le faire ici, couvrir les atouts de Twitter, avec mes mots, pas académiques pour pas doublonner puisque d’autres le font très bien, et en anglais en plus. Et comprendre pourquoi j’en suis à 5 à 10 messages par jour sur mon Twitter.
Eden Log en avant avant avant-première
Il a beau se passionner pour Secret Story, vouer une adoration à James Bond et se damner pour un concert des Pet Shop Boys, je maintiens une mystérieuse mais indéfectible confiance dans les goûts de Ron. C’est sans doute son côté infirmier ou je sais pas…
Bref, quand il me dit qu’il a un coup de coeur pour un film, je vais y regarder de plus près. Et là je me laisse gagner par le frisson comme il dit et j’attends carrément avec impatience la sortie dans les salles d’Eden Log le 26 décembre. Pour le fond (visiblement engagé) et la forme (thriller fantastique), pour les acteurs (Clovis Cornillac en tête), les partis-pris de réalisation et le travail de direction photographique tel qu’on le découvre dans la bande-annonce et les photos. Il y a un côté Alien dans les images, oui, je parle bien de l’un de mes films préférés de tous les temps, rien de moins.
Eden Log est réalisé par Franck Vestiel, produit par Cédric Jimenez.
Je n’ai que quelques mois à attendre pour savoir si j’ai raison de faire confiance à Ron, la critique de Matoo me donnera la réponse !
Ils ne servent à rien
Leur métier ? Montrer des morceaux de leur anatomie à la presse People qui n’en demande pas plus.
Revue de détail tous les samedi matin au Starbucks, un été sous le signe de la culture. Des fois, Noémie, elle sort même du magazine pour se prendre un petit Latte.
Ils ne servent à rien, du coup, cette note non plus, on sera 2 à comprendre, c’est juste pour dire.
Putain, deux ans !
Depuis mon dernier anniversaire, j’ai décidé de gagner -un peu- en sobriété. Du coup, pas d’effusion de joie ni d’excès d’auto-congratulation. Pas de name dropping, ceux que j’aime et que je lis le savent. Pas de champagne non plus. Je profite simplement de cette occasion pour m’intéresser à un sujet que je n’ai jamais traité ici : la cosmétique. A tout ceux qui soupirent "ça nous changera des séries", mauvaise nouvelle : j’y reviendrai (je cabotine 2 minutes si je veux : si TF1 a envie m’inviter à la soirée Heroes, je suis hyper dispo au mois d’août) !
Quand je dis cosmétique, là où j’en suis, je parle surtout de prévention de l’âge. "Dès 30 ans" ils ont dit. Après de multiples essais de crèmes garanties hypo-allergéniques qui me transformaient aussi sec en lampion repérable à quelques kms à la ronde, je n’ai trouvé que récemment la marque qui me va. Ca s’appelle Sens, c’est une gamme cosmétique pour homme dont le site internet mal fichu est (du coup ?) super mal référencé sur Google. Issue des Laboratoires Maurice Mésségué, la gamme est en revanche très présente en para-pharmacies. Les soins hydratants et anti-rides d’expression, sont selon moi des must have. Agréables à appliquer, ils pénètrent facilement, ne brillent pas et surtout, ils ne provoquent aucune réaction allergiques sur une peau pourtant un peu compliquée en la matière.
Ceci dit, n’étant pas vraiment un spécialiste, je reste ouvert à toute suggestion d’un produit miracle qui me fera me rapprocher de l’âge de mon blog. Des idées ? (à part le botox et la chirurgie je veux dire…)
On n’a pas tous les jours une vie facile
Le titre n’a rien à voir avec le picnic d’hier soir qui c’est bien passé, merci : une foule gigantesque (proportionnellement à la qualité de la météo), les détails sont là et les photos toujours ici.
Non, j’ai simplement eu un choc en découvrant ce matin, l’affiche du nouveau film d’Elisa Cuthbert, Captivity. Celle qui a déjà vécu un enlèvement, l’assassinat de sa mère, un nez à nez avec un cougar, la mort de son père, la réapparition de son père, un nouvel enlèvement, le tout en 4 jours dans les saisons 1, 2, 3 et 5 de 24 Heures se retrouve kidnapée par un serial killer dans le nouveau film de Roland Joffé. C’est plus une carrière, c’est un désastre. Aux Etats-Unis où le film est sorti en mai, tout le monde semble d’accord : Captivity est l’un des plus mauvais films de l’année, Roland Joffé est tombé bien bas depuis Mission. Peut-être on peut y aller quand même, pour les performances d’actrices d’Elisa alors ? (non je rigole).
3 ave 2 pater 1 tortue
Hier soir j’ai pêché. J’ai fait la Tortue sans ces deux là et hors picnic du jeudi. On se connaissait à peine, réunis par Laurence, étourdis par les bulles, enivrés par tant de nouveautés, je me suis laissé allé à participer (d’aucuns diront initier) une tortue avec l’organisatrice, les déjà convertis Mathilde et Charles underscore Liebert et les petits nouveaux Eric et Jacques. Bien sûr, on s’est plus rapprochés d’une mêlée du stade français que de l’habituel Cuddle, le temps d’initier les moins expérimentés, mais quand même. C’est impardonnable mais je suis prêt à tous les ave et les pater qu’il faudra pour une tortue géante ce soir.
Disclosure : les visages ont volontairement été dissimulés sur la photo par respect pour l’intégrité des participants.
Chacun son deuil
Hier, les kiosques nous ont proposé une superbe démonstration de la différence de ligne éditoriale entre un quotidien populaire et un quotidien intello.
