Lost ?

Lost

Même si vous avez déserté la 3ème saison de Lost, lassé par un début de saison faiblard, des intrigues sans fin et la diffusion tardive de TF1, ne ratez pas ce soir les 2 derniers épisodes qui donnent une toute nouvelle perspective à la série dont on attend du coup avec impatience la 4ème saison qui débute cette semaine aux US.

Si vous avez décroché, en vrac, voici ce qu’il faut savoir pour s’y retrouver ce soir : on connait dorénavant l’identité des "Autres" (menés par leur leader Ben) et on sait qu’ils s’intéressent aux femmes enceintes parmi les réscapées (dont Sun), Kate et Jack sont toujours amoureux, du coup, Kate se tape Sawyer et Jake se rapproche de Juliet, nouvelle star de la série plébiscitée par le public US, gentille méchante espionne traitre mais en fait sympa imposée par Jack à son groupe. Desmond (qui pense que sa femme le recherche) a des visions et a prédit la mort de Charlie depuis une bonne dizaine d’épisodes. Michael et son fils Walt n’ont toujours pas réapparu. Locke a rejoint les Autres pour rencontrer leur mystérieux leader invisible. Claire ne sert toujours à rien, Sayid l’imite suivi de jin. Hurley veut aider mais n’est pas considéré comme utile par ses collègues.

Une mystérieuse femme s’est éjectée d’un hélico, a atteri sur l’île, a révélé que tous les occupants du vol Océanic on été retrouvés mort, détient une radio qui ne sert à rien tant que les messages sont brouillés par une mystérieuse station sous-marine. Vont-ils réussir à l’éteindre ? A sauver les femmes qui doivent être enlevés par les Autres ? Et finalement quitter l’île ?

Réponse ce soir.

Lancement de Nescafé Dolce Gusto de Krups

Caf_2 Fan de café, j’avais acheté il y a 8 ans une machine à expresso (Riviera & Bar) pure tradition : une très belle machine, au look professionnelle, qui produit un café digne des meilleures brasseries mais qui se révèle aussi peu pratique à utiliser que galère à nettoyer. Résultat, j’ai très vite abandonné le café du matin à la maison pour attendre celui du bureau à la machine. C’était bien avant que l’arrivée des dosettes ne révolutionne le marché de la consommation à la maison du café.

C’est justement un marché dont j’imagine bien les évolutions majeures mais que je connais mal. Bien que j’ai eu la chance de participer au lancement de Starbucks en France (ai-je besoin de préciser que je reste fan ?), les évolutions en termes de comportement et volume ne m’apparaissent pas clairement, en particulier à domicile. J’ai fait un tour d’horizon un peu rapide et je dois avouer que j’ai été impressionné par la gigantesque somme d’informations (qui semblent se recouper avec les sources officielles) proposées par wikipedia.

Avec un oeil de consommateur, donc, j’ai le sentiment que l’approche des marques est différente selon leur segment et se classe en deux catégories : on trouve étonnamment d’une part des cafés filtres type Jacques Vabre aux côtés des distributeurs type Starbucks et de l’autre les cafés dosettes. Les premiers qui ont historiquement joué la saveur, la dégustation, le plaisir associé à la noblesse du produit et l’expertise de ceux qui savent le choisir (on se souvient tous du petit train et de la musique mythique avec le monsieur qui venait lui-même tester la qualité des grains) en éduquant sur l’importance de la provenance, des conditions de réalisation, de typologie (robusta et arabica. Les deuxièmes n’oublient évidemment pas la saveur mais s’inscrivent davantage dans la consommation courante : bon, simple et rapide.

Lorsque Cédric m’a invité à découvrir sur la terrasse Publicis la nouvelle machine Nescafé Dolce Gusto, j’y ai vu plein d’intérêts : le plaisir de profiter de quelques cafés évidemment, l’occasion de comprendre les leviers sur lesquels les marques s’appuient sur ce segment des dosettes, la joie de me retrouver sur la terrasse Publicis que je n’avais pas revu depuis une bonne dizaine d’année et bien sûr le bonheur de revoir mes quelques copains blogueurs.

Alors qu’en est-il ?

Première impression, pour commencer par le détail qui compte : j’aime bien le look très revival Cosmos 1999 de la machine.

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A l’usage, c’est assez simple même s’il faut visiblement prendre le coup de main. Le volume d’eau d’1,4 litres me paraît inutilement important mais on m’explique que le fonctionnement prévient la formation de calcaire et même que c’est très bon de laisser l’eau stagner un ou deux jours. J’apprends également à cette occasion que pour obtenir la mousse caractéristique des espressos, 9 bars minimum sont nécessaires à l’extraction, Dolce Gusto permet 14 bars.

Mais ce que j’apprécie, même si on ne parle pas vraiment de la qualité du café en lui-même, c’est qu’on parle café gourmand, "Starbucks à la maison", saveur et plaisir. Et pour le coup, après avoir gouté l’intégralité des variétés disponibles (espresso, caffé lungo, cappuccino et latte macchiato), je peux en témoigner. J’ai également craqué pour le chococino, véritable chocolat chaud au lait entier qui détend après autant de café.

C’est dans une ambiance conviviale et simple que nous avons pu déguster entre blogueurs avec le plaisir d’en retrouver certains que je n’avais pas revu depuis très longtemps (toutes les photos sont ).

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De retour à la maison, le dossier de presse ne me dit pas grand chose sur le marché, le café, les modes de consommation, il me dit juste au travers de ses vernis sélectifs et de ses images qu’il y a un investissement conséquent. Même s’il s’agit de la version suisse où le produit a été lancé en 2006, on trouve plus d’infos du côté du site.

La machine Nescafé Dolce Gusto de Krups est disponible en ivoire, noir et rouge au prix de 129,49 €, les dosettes vous reviendront 3,99 pour 16 dosettes (attention, pour les Capuccino, Latte Macchiato et Chococino, il vous faudra 2 dosettes par usage).

Disclosure : j’ai rédigé ce billet parce que j’ai été invité mais surtout parce que le produit m’a plu, parce que c’était bien organisé et que j’ai passé un bon moment. Je continue à m’autoriser à ne rien publier si je n’en ai pas envie, même si j’accepte une invitation.

Le buzz Ron et Adrian

Je le crois pas. J’étais au courant de cette interview (juste pour tester ma capacité à jouer les tombes). Je voyais l’un des deux ce week-end. Et j’étais passé complètement à côté de ça alors que tout le monde en parle. Je connais peu de monde capable de réaliser une première interview avec ce décalage là. Je suis très fier que l’interviewer soit mon ami. L’interviewé n’est pas mal non plus sur ce coup là, j’admets.