Vivre un rêve par procuration, c’est déjà vivre un rêve non ? Après Melissa et Aurélien à Montréal, ce sont Myriam et Jean qui débarquent à Sydney. Il le ne manque plus que des potes s’expatrient à Rio et le tour de monde des 3 villes de mes rêves virtuel sera accompli. Heureusement, il y a les blogs mais en même temps, ce serait cool que quelques-uns restent à Paris parce que bon, hein…
Sony Bravia anime les couleurs
Après le buzz Dove, je parie sur un nouveau buzz Sony Bravia qui avait déjà gouté aux joies du viral grâce aux balles de couleurs dévalant les rues. Cette fois, les explosions de couleurs sont dans la veine du Painting Ball et le film décoiffe.
La plateforme virale permet de voir le film, les coulisses du tournage, télécharger les films mais aussi les images. C’est vivant et dans l’air du temps, ça devrait marcher. Découvrez le making-of et le film :
Bravia Sony Ad Making-of
VidÃéo envoyÃée par PRland
WWW.BADCHIX.COM -sony bravia commercial
Vidéo envoyée par wwwACEGAMERbe
Ruquier réussit le pari du samedi soir grâce à Foresti ?

En dépassant allègrement les 30% de part de marché, Laurent Ruquier se paye le luxe de faire plus fort qu’Ardisson l’année dernière avec son émission On n’est pas couché. Pour ma part, je ne suis pas complètement convaincu par ce mélange très visible Ardisson (Barma rest eà la production) + Fogiel (Ruquier est parfois mordant) + Cauet (mais pourquoi ils ont repris l’idée du fauteuil ??) + Ruquier pur jus (intervenants d’On a tout essayé). Ma seule vraie motivation pour enregistrer l’émission est de ne rater sous aucun pretexte la prestation de Florence Foresti dont je suis fan de la première heure et dont les 5 excellentes performances du samedi soir font actuellement le tour du web. Même Ron, qui découvre pourtant en ce moment même avec 5 ans de retard Alias et Ally Mac Beal, a déjà repéré le phénomène, c’est dire… Hier soir, c’est une Cécilia Sarkozy telle qu’on ne l’avait jamais vue que Foresti avait invité.
Buzz Dove Evolution
Le film Dove Evolution est sans aucun doute le buzz du moment. Et, pour les marques, une belle illustration de ce qui fait un bon buzz : une vidéo étonnante ou drôle, dans l’air du temps, avec juste ce qu’il faut d’outils pour que la mécanique virale se lance facilement.
A l’arrivée, en plus de multiples mises en ligne et des centaines de milliers de visites sur les plateformes vidéo dailymotion et youtube, des centaines de blogs et sites dans le monde entier ont montré le film. En France, je l’ai notamment vu chez Damdam, Patrick, Guillaume (de senttofriend), Guillaume (de Marketing étudiant), Arnaud, Fabien, délires, cafeine, BREM, JB, Arian, Raphaël, Veuve Tarquine, Embruns, et pas mal de canadiens francophones telle Martine dont parle Laurent. Et je l’ai bien sûr reçu par email une bonne dizaine de fois. Bref, du bon buzz.
La vraie plateforme virale est là pour soutenir la campainforrealbeauty de Dove, avec le film à partager, discuter… Mais c’est sans doute la reprise par Boing Boing qui a aidé au lancement du buzz avec près de 150 messages par jour les 18, 19, 20 et 21 octobre. A noter, le film a même eu droit au zapping de Canal, en attendant les enfants de la télé dans 3 mois ?
Posts that contain Dove Evolution per day for the last 30 days.
Je suis très fier de la boîte qui a fait ça moi 😉
Dove Evolution Ad
Vidéo envoyée par cattias
Agency: Ogilvy, Toronto
Creative Directors: Janet Kestin, Nancy Vonk
Art Director/Writer/Co-director: Tim Piper
Art Sirector: Mike Kirkland
Agency Producer: Brenda Surminski
Director: Yael Staav
Production House: Reginald Pike
Music: Vapor
Editor: Paul Gowan (Rogue)
Animation: Soho Post
Bruxelles en images
Alors que j’avais été déçu par Washington, sans vie, où chaque lieu transpire le lobbying et les affaires publiques, c’est avec bonheur que j’ai passé à Bruxelles quelques jours qui m’ont donné très envie d’y retourner. Bruxelles est une ville animée, avec des vrais gens dans les rues, des casinos, une urbanisation vraiment conçue pour les vélos et les piétons, une grand place bondée même à 11h00 du soir (certes il faisait une chaleur exceptionnelle pour un mois d’octobre). Mais c’est aussi une ville où les taxis occupés s’arrêtent pour vous demander s’ils peuvent vous aider en appelant un de leur collègue, où tout le monde se dit bonjour, où est exposée la vache que j’ai vu pas loin de chez moi à Paris pendant plusieurs mois et où la dégustation de desserts (mmm les gaufres) et chocolats est possible à tout moment de la journée. Et c’est à 1h30 de Paris.







Dès que mon emploi du temps me le permet, j’y retourne rien que pour le plaisir.
Télé et politique
J’écris peu ici en ce moment. Pourtant, j’ai plein de choses à raconter sur Bruxelles. Ce sera pour demain, je continue à manquer de temps et puis je parle de l’événement adidas sur People in the city, de télé sur Buzz-Tv, je peux pas être partout hein.
Histoire de la ramener quand même un peu sur le sujet du moment, je fais partie de ceux -visiblement peu nombreux- qui ont plutôt apprécié le (faux) débat DSK, Fabius, Royal. En interdisant la contradiction systématique et la stérile bataille des chiffres, il a permis à chacun de s’intéresser vraiment au fond pour une fois et de donner son point de vue illustré par des propositions concrètes, de façon plutôt pédagogique.
Du coup, les commentaires à chaud des analystes m’ont littéralement sidéré : "ennuyeux", "match nul", "pas de vainqueur", "pas de vraie différence", accompagné du jeu des petites phrases habituelles. Le spécialiste de LCI a même cru bon de préciser que le format n’était pas très adapté à un "prime time". Il aurait préféré confier l’animation à Nikos Aliagas ou quoi ?
La vraie question soulevée est : les médias ne seraient-ils pas les premiers responsables du rejet de la politique général en tirant vers le bas les déclarations des hommes et femmes politiques qui finissent en petite tenue en couverture de Voici ? J’enfonce une porte ouverte peut-être mais j’en ai vraiment mesuré la portée hier soir. Evidemment, je parle ici de médias, pas de politique, forcément.
Communauté pro
J’ai eu l’occasion de découvrir ce week-end que le groupe que j’ai rejoint depuis 2 semaines bénéficie d’une belle communauté de blogueurs internationaux bien sûr (en particulier celui de Rohit dont je suis un fidèle lecteur depuis longtemps) mais également francophones parmi lesquels Antoine, Cyril, Frédéric, Jean-Philippe ou encore Nicolas. Si je n’ai pas encore eu l’occasion de croiser tous mes nouveaux camarades de jeu, je les connais déjà un peu. Vive le séminaire d’intégration 2.0 !
Respect et civilité : responsabilité à partager
La RATP m’invite à participer à une campagne dont j’ai failli penser qu’elle ne me concernait que peu. Adepte du déplacement en vélo dans Paris, je suis rarement confronté au problème de civilité et de respect mutuel dans les transports en commun. Je suis pourtant directement victime tous les jours d’un dommage collatéral de ce manque de respect très bien illustré par l’une des affiches de la campagne.

Cependant, si les conséquences sont à la fois le ralentissement du trafic et la mise en danger des cyclistes, difficile de ne pas chercher les causes, en plus de l’incivilité, dans une mauvaise gestion avec la mise en place de couloirs de bus avant de régler les problèmes de densité de circulation (à quand des parkings aux portes de Paris ?) et en ignorant copieusement les contingences nécessaires (espaces pour les livraisons; camions poubelle…).
Pour le débat, c’est sur www.objectif-respect.org à partir de demain.
The place to be
Ces deux dernières semaines sont celles que j’ai passé le plus loin de la blogosphère depuis quasiment 2 ans. Quasiment pas de notes, pire encore, peu de visites de ce qui se passait dans la blogosphère française et, ultime drame, même pas le temps de répondre aux mails de mes potes blogueurs. Par chance, j’ai réussi à sauver juste le temps qu’il fallait pour ne pas rater l’événement dont tout le monde a parlé. Celui où il fallait être et qui a provoqué tant de débats. Je parle évidemment de cette réunion secrète avec Aziz (code 29), Cyrille (GO), Damien (A.), Damien (de B.) et Patrice (Gabriel’s daddy). Tiens on a peu parlé de blogs et presque pas de ça (code 127 ou pas, j’en pense pas grand chose sinon que ça sert à rien d’autre que faire parler et que ça marche en plus de faire marrer !)*.
Bilan : 2 caïprinas dans mon état de fatigue, c’est beaucoup trop mais c’était cool. La prochaine fois, je me mets au régime Aziz pour assurer un minimum pendant toute la soirée…
* J’en pense en fait beaucoup de choses mais je me permettrai juste une petite remarque : je fais partie de ceux qui passent pas mal d’énergie à faire de la pédagogie pour expliquer ce définit un blog, ce serait assez cool d’éviter de classer autre chose que des blogs dans un TOP 100 de ce type parce que ça fout un peu le bordel là. Merci pour eux… Pour le reste, j’ai juste honte d’être classé devant des référents absolus qui pour certains n’apparaissent même pas dans le classement. Comme souvent, c’est encore Vinvin qui en parle le mieux.
Sous le charme du baladeur YP-Z5F de Samsung
Grand fan d’iPod depuis l’origine, je n’étais pas particulièrement en attente d’un autre baladeur. Je suis pourtant tombé sous le charme du modèle de Samsung YP-Z5F, vraiment. Ce qui m’a séduit particulièrement au point de le préférer à mon iPod qui reste désormais sur son dock radio réveil à la maison, c’est l’accès intégré à la radio et l’autonomie de presque 40h00 qui en fait réellement un produit nomade.
Pour le reste, le design est réussi même s’il n’atteint pas le niveau de l’iPod nano à mon goût, l’utilisation est facile et intuitive même si je m’étais bien habitué à la molette du modèle d’Apple, la qualité du son est parfaite et le volume sonore atteint le niveau qui me convient (un peu fort, je sais, c’est mal…), l’écran LCD de 1,8 pouce 260.000 couleurs est superbe, le package sur le modèle d’un compact disc est malin. L’usage de la vidéo est limité mais en même temps, je ne l’utilise pas sur iPod, pas plus que les photos qui sont pourtant bien gérées par les 2 modèles. Un système de classement par gestion de tag est disponible, il faut juste que j’organise un peu ma bibliothèque pour l’utiliser.
La perfection n’existant pas, il y a forcément des défauts. Le principal pour moi est en creux : j’aime vraiment l’interface iTunes qui me manque, même si je n’ai rien à reprocher au logiciel proposé avec le modèle Samsung. Le reste est de l’ordre du détail : le pavé tactile pas toujours pratique et d’une ergonomie limitée pour utilisation avec une main, un câble propriétaire mais c’est malheureusement l’usage généralisé… et le nom du produit moins immédiatement mémorisable et déclinable que l’iPod.
Le vrai défaut du produit est en fait certainement son prix, mais ne l’ayant pas payé, ça ne m’a pas bouleversé plus que ça. Un conseil donc : faîtes comme moi, faites le vous offrir !
