PERSISTANCE, le mot de la semaine

Lorsque j’ai commencé à bloguer il y a près de 6 ans, l’objet n’était pas de faire de ce lieu un espace de référence traitant de ce qui allait devenir les médias sociaux mais juste d’en être un acteur parmi les autres. Pour autant, l’envie de m’exprimer librement sur ce qui m’intéresse -en évitant les marchés de mes clients- m’a naturellement amené à écrire beaucoup sur les blogs, sur l’évolution des réseaux sociaux, en particulier Twitter, tel que je le vivais de l’intérieur. Et je n’ai jamais arrêté de lire consciencieusement et avec intérêt de nombreux billets sur le sujet, en français et en anglais, ne serait-ce que pour nourrir mes présentations pros.

Seulement voilà, depuis quelques mois, j’ai le sentiment de ne plus rien lire de nouveau et d’en apprendre beaucoup plus en participant à des jurys d’awards qui récompensent les meilleures campagnes sur les réseaux sociaux -souvent très tactiques- qu’en lisant les experts du web. Donc je les lis de moins en moins. Mais j’admire sincèrement leur persistance et leur énergie sans cesse renouvelée à répéter inlassablement les mêmes choses face à une route qui reste longue.

Donc résumons ce qu’on sait maintenant depuis longtemps dans l’espace temps media social :

Un développement d’entreprise ou de marque sur les media sociaux nécessite une stratégie d’engagement sur le long terme, nourrie par des actions tactiques de préférence créatives, des espaces de référence détenus par la marque et des conversations menées partout où les cibles se trouvent, en associant temps réel et traces laissées sur le long terme. Elle doit être pilotée par un système de gouvernance qui implique toutes les parties prenantes de l’entreprise et elle intègre des indicateurs de performance qui rappellent à tout moment à quoi contribue cette stratégie.

On pourrait penser que tout le monde a compris mais à l’arrivée, on en est à une course aux fans sur Facebook, peu de stratégie en place dans les entreprises, une résistance de la part d’organisation en silo, des avancées que se font plus sur la base de coups marketing joués sur les media sociaux que de projet sur le long terme… C’est donc bien que quelque chose ne passe pas. De ce fait, la tentation de rappeler encore et toujours les fondamentaux à coup de graphiques, études, vidéos, slideshows ou infographies est grande, on le comprend. Ces présentations sont nouvelles sur la forme mais totalement redondantes sur le fond.

Qu’on ne se méprenne pas, je pense que ces rappels systématiques sont nécessaires, ils structurent même les formations que nous sommes tous amenés à organiser pour nos clients. Mais j’aimerais lire plus de nouveaux enseignements, tirer des bests practices internationales de nouvelles convictions. Et trouver la même énergie que mes collègues consultants blogueurs à écrire sur le sujet pour participer à faire atterrir les bonnes pratiques.

Si j’étais plus persistant, sans doute aurai-je élaboré ici un discours sur les vertus du test permanent qui doit devenir un état d’esprit pour les marques, de la prise en compte d’espaces sociaux ignorés de tous que sont les commentaires associés aux articles sur les medias online, sur l’accélération de la chute des « leaders d’opinion » qui forgent désormais leurs idées sur l’opinion publique, souvent en retard.

Je retourne donc à mes légèretés sur mon espace social qui va encore s’agrandir dans quelques semaines pour continuer à apprendre de l’intérieur, en admettant qu’il s’agisse d’une autre forme de persistance louable.

Mot d’excuse

Depuis deux semaines, il m’arrive des aventures dont je ne peux pas parler. Parce qu’elles sont professionnellement confidentielles ou personnellement trop… personnelles. Or, dans les deux cas, elles sont passionnantes, suffisamment en tout cas pour rendre tous les sujets que j’aurais la liberté de traiter sur ce blog terriblement fades.

Certes, j’aurais pu élaborer à partir de sujets moins implicants, raconter par le menu ma nouvelle condition d’Appleman depuis que je suis équipé d’un MacBook Pro que j’apprivoise peu à peu, faire mon débrief d’un Web’10 particulièrement vivifiant ou du Monitoring Social Media 2010 qui a compté dans son casting d’intervenants le bluffant Brian Solis, raconter mon coup de coeur inattendu pour Raiponce de Disney ou -avec 2 ans de retard et dans un tout autre genre- la série The Sarah Connor Chronicles, saluer la drôlerie talentueuse des Craypion d’Or qui rappelle que l’humour vit mieux quand il est supporté par un vrai boulot, relever mes petits moments de bonheur devant la sensualité du déhanché de Shakira ou l’érotisme nerveux du Sacre du Printemps par Pina Bausch à l’Opéra Garnier, tester sous la douche ou, mieux mais moins simple, à la piscine la caméra waterproof Kodak PlaySport gagnée sur le Web’10…

Je ne l’ai pas fait. Par manque de temps. Et d’envie, donc (sauf la vidéo sous la douche évidemment).

Je sais que je ne suis pas le seul. J’ai eu l’occasion d’entendre plusieurs fois depuis le 1er décembre une réponse systématique de ceux que je m’étonnais de moins voir sur les réseaux sociaux : « depuis que je vis des choses passionnantes, je ne peux plus bloguer« . Et je sais déjà que 2011 sera encore plus excitant pour moi, toujours plus ancré dans une vraie vie qui m’empêchera d’en dire trop ici. Evidemment, je ne le regrette pas puisque je le conduis, mais je réalise plus que jamais que l’écriture est un exercice vital lorsqu’il est partagé. Je trouverai d’autres moyens.

Je me suis contenté de livrer quelques instantanés de vie sur  Twitter. L’endroit où je m’autorise futilité, absence de recul, vingtième degré, débats de cour d’école, relais de mes moments parmi les moins passionnants (breaks télé) et extraits de vie qui en révèlent peu à chaque fois et beaucoup au total. En écrivant moins sur ce blog et en jouant le jeu de la rareté sur lefigaro.fr, mon fil Twitter est devenu avec Facebook le hub central de mon identité en ligne. Celui dont on me parle inlassablement. Celui qui me donne quelques frissons chaque fois qu’un client me révèle -malicieux- qu’il s’y est abonné, ce qui provoque systématiquement des excuses que je présente pour tant de légèreté.

Alors voilà, je présente des excuses que personne n’attend pour avoir quelque peu laissé en jachère ce lieu virtuel pourtant important pour moi. Il s’habituera avec moi à un rythme différent, imposé par de bonnes raisons : de plus en plus de sujets qui m’intéressent croisent ma vie, je crois que c’est une bonne nouvelle.

Ceci était donc mon 1000ème billet sur PRland.

Auto suggestion

Depuis quelques semaines est apparu un système de recommandation un peu gonflant sur le site Twitter : le « Who to follow » ou « Suggestion » en français. Sans doute utile pour les nouveaux arrivants mais polluant pour les plus anciens qui se voient en général recommander des gens qu’ils ont choisi de NE PAS suivre. Par exemple, je n’ai définitivement pas envie de suivre Patrick Sebastien qui m’est recommandé 40 fois par jour si je ne le supprime pas manuellement.

Ce serait donc chouette que ça s’arrête. Mais comment sélectionner de nouveaux followers reste sans doute un sujet. Les moyens possibles sont multiples : les Follow Friday #FF, les personnes en conversation avec vos contacts, les recommandations directes par vos contacts ou tout simplement la bio…  J’ai choisi un autre camp.

Pour m’éviter de remonter dans l’historique des timelines histoire de statuer sur l’intérêt pour moi d’un nouveau following potentiel, je regarde en général les listes qui me donnent une première idée rapide de l’identité et des centres d’intérêt de la personne.

En même temps, si je fais l’exercice pour moi (histoire de ne vexer personne), je ne suis pas immédiatement sûr de la pertinence de ma méthode.

Parmi les dénominations exotiques sous lesquelles je suis listé, il y a  surveillance de dortoir, madmen, voix de la raison, offrir un mojito, scooby gang extended cut, moches en vrai, parigourdin mais cool, timeline de guedin, nouvelle -ba – star, open, zombie apocalypse team, beaucoup mieux que Glee, regarde à gauche, curating, pr stands for papy rémy, vus nus sur chatroulette, allez Andy dis moi oui, ketchup baby, gazon, frères Mickey…

Il y a aussi des éléments perturbateurs qui sont intéressants mais qui me définissent assez mal : geek, arty, littéraire, it crowd, racaille numérique, journalistes, célébrités, politique…

Pour être honnête, les termes qui reviennent le plus souvent sont RP, marketing, web, consultant, blogueur, livetwitteur, agence… plus proches de la réalité dans la vraie vie mais reflet d’une réalité assez peu exprimée sur Twitter.

Au final, je peux en déduire que mes « twitto-listeurs » sont un peu dingues mais surtout que mis bout à bout, le système de liste dit globalement assez bien qui je suis pas seulement sur Twitter.

Et vous, est-ce que vous vous reconnaissez dans vos listes ?

Je me lève et je me bouscule

Avant, le matin, c’était simple : j’assumais mon statut de gros dormeur qui s’ignore en repoussant 5 fois la sonnerie du réveil avant de déguster péniblement mes Choco Pops au sucre roux dans du lait entier devant Bruce Toussaint et son équipe de la Matinale. 7 minutes à la salle de bain et un enfilage de vêtement plus tard, je prolongeais ma nuit dans le métro qui me larguait à 2 minutes de mon bureau sur les coups de 8 heures.

Trois ans après, tout a changé. A part la sonnerie du réveil toujours aussi élastique j’entends.

connecte

A 7h00, c’est une random radio d’info qui me sort du lit (je passe de France Info à Europe 1 en m’arrêtant aussi souvent que possible sur France Inter) direction allumage du PC. Alors que mes Special K croustillent d’excitation depuis l’arrivée du lait totalement écrémé absolument pas dénaturé par quelque ajout de sucre que ce soit, un long ballet commence.

Le tour de Twitter ne me prend pas plus de 15 minutes, je vais y chercher le pouls du monde (selon William) et de ma timeline (selon mon âme de concierge planquée tout au fond à gauche de ma zone la plus reptilienne). Les jours de fête, je trouve un truc drôle à dire, le plus souvent, je me contente de pleurer dedans en rêvant juste de retourner me coucher.

Une ouverture de gmail plus tard, je réponds aux urgences (mon abonnement GQ US arrive à expiration toussa) et découvre les réponses apportées pendant la nuit aux questions existentielles posées sur Formspring.  J’en profite pour répondre aux miennes (oui j’aime le MAUVE, non je n’ai jamais cuisiné par temps de pluie sous un saule pleureur orange, toussa).

Il est 8h30. Juste le temps d’activer Google Buzz pour vérifier que ça bouge toujours aussi peu… et trouver 4 occasions de nourrir un buzz proche de l’extinction définitive, par pure posture judéo-chrétienne.

Sous la douche, j’oublie tout, sauf de zapper de Canteloup sur Europe à Guillon sur Inter, puisqu’il est 9 heures. Je suis terriblement à la bourre. Je m’habille en 12 secondes, cours jusqu’au métro histoire de checker tranquille mes mails du bureau sur le trajet. Je vais enfin pouvoir allumer mon ordinateur au bureau et débuter ma journée.

Sinon, on comprend mieux pourquoi je refuse de tester chatroulette, non ?

Le chemin qui menait vers vous

Cette semaine, j’ai participé activement au lancement du projet de 2 de mes amis. Parce que le projet me plaît. Parce que l’expérience est inédite. Parce que je suis curieux de savoir si l’interactivité peut apporter une vraie valeur. Et parce que ce sont mes amis, donc.

Le chemin qui menait vers vous, c’est un roman feuilleton accessible grâce à une appli iPhone (à télécharger ici) dont les nouveaux chapitres écrits en temps réel seront publiés chaque semaine, en prenant en compte les commentaires des lecteurs (à partager sur l’appli ou le site dédié). Une vraie expérience interactive… si les lecteurs jouent le jeu. L’application est éditée par Blüpan Entertainment.

Le roman étant écrit à 4 mains, l’interaction se joue jusque dans les séances de travail entre William et Laurent Latorre, le co-auteur. Les coulisses d’une des étapes d’écriture à laquelle j’ai pu assister ce matin, c’est pour la semaine prochaine. Les premiers chapitres ont posé le décor (2017, le Président est mort, les ressources pétrolières du monde entier sont épuisées, Guillaume et Laure entament une traversée de la France), sur quel pan de l’histoire les lecteurs vont-ils réellement intervenir ?

Les RP en format interactif, ça se tente aussi du coup. Ceux qui souhaitent recevoir des informations, tout savoir du classement de l’appli, des secrets de l’écriture, de l’édition des prochains chapitres, ou même choper des photos en haute def super prêtes pour le 4 par 3, il suffit de laisser un commentaire ou m ‘envoyer un petit email pour recevoir les infos.

Pour en savoir plus sur ce qui a déjà été écrit sur le net, il suffit de cliquer sur la perle ci-dessous.

eBook Le chemin qui menait vers vous

Dans la lignée du titre de ce billet, mon chemin qui menait vers vous n’a pas été exemplairement simple cette semaine. Ne nous arrêtons pas sur les détails, j’ai vraiment failli cliquer sur le bouton « Delete » de mon compte Twitter juste avant de me souvenir de tout ce qu’il m’avait apporté de bien aussi. En particulier de la bonne vingtaine de nouvelles têtes rencontrées parmi mes followers, au gré de lancements, soirées et autre apéro prétexte. Et aussi des quelques amis que j’y ai trouvé en 3 ans. Je vais juste retravailler l’addiction, en ajoutant à la modération une couche de distance, et ça va bien se passer, j’en suis sûr.

Ceci est un billet sur moi (blog spirit)

Après toute ces années, c’est un processus que je connais bien. Précieux, parce qu’il est rare et magique lorsqu’il se déclenche. Déstabilisant aussi, puisqu’il créé une proximité unilatérale avec une personne qui ne vous connait pas mais dont vous savez (presque) tout. Elle ignore que vous puisez dans sa personnalité une énergie positive en exploitant la serrure dont elle a laissé trainer la clé. Freaky indeed.

Remonter dans l’histoire d’un blog et inévitablement du blogueur qui l’anime est un moment irremplaçable. Chronophage et exigeant aussi. Tellement fort que j’ai ressenti à chaque fois le besoin d’écrire ici dans la rubrique qui va avec. Pour laisser des traces du moment où j’ai découvert ces gens que j’aime, filles et garçons, c’est tout moi ça. Peu de points communs entre eux si ce n’est que je ne les connais pas en vrai, qu’ils ont tous un univers, une bonne dose d’irrévérence et cette capacité unique à me faire rire autant qu’ils me touchent. De façon souvent inexplicable, mais pas toujours, en tout cas pas aujourd’hui.

Étonnamment, le processus est toujours le même.  Ca n’a pas manqué avec cette nouvelle découverte dans la catégorie garçon et surtout cette fois-ci avec le supplément de surprise qui me rappelle pourquoi, quelle que soit la tendance, je ne vois pas venir le jour où je me lasserai de partir à la découverte de nouveaux blogs.

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La fois où j’ai débranché

Lorsque j’ai commencé à devenir un contributeur actif sur Internet, je me suis posé pas mal de questions mais n’ai jamais douté de ma capacité à ne livrer que ce que je souhaitais délibérément partager. Ce ne serait pas un problème : plutôt secret de nature, l’enjeu serait davantage de donner suffisamment que trop. Accepter de lâcher prise, contrôler moins, tenter d’oublier que le terrain de jeu est public.

Cette année, j’ai eu l’impression plusieurs fois d’être sur un fil. En 2009, j’ai donc tenté de limiter le lâcher prise, reprendre le contrôle, penser plus souvent à ceux qui me lisent, ne pas oublier que tout ce qui est écrit reste, pour toujours. J’ai fait ça avec les moyens du bord.

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Petite histoire de la vie quotidienne sur Twitter

Depuis le début de l’année, j’ai eu l’occasion 2 fois de travailler pour des personnalités extrêmement actives sur Twitter. Et de mesurer au passage l’impact de l’explosion du site de micro blogging sur mon métier.

D’un côté, les people, politiques et décideurs ont trouvé dans Twitter à partir de 2008 un canal d’expression direct avec leurs fans, électeurs et parties prenantes, simple à manier, peu chronophage, sans équivalent pour créer de la proximité.

De l’autre, des journalistes, souvent web mais pas que, ont été attirés par cette nouvelle source directe d’info surtout à partir de la fin 2008, jusqu’à créer une véritable communauté qui y vit ses propres histoires et rassemblements comme d’autres l’avaient fait avant.

Au centre, des marketeux et communicants dont je fais partie, qui ont défriché en 2007, tenté des expériences plus ou moins heureuses en 2008 et se retrouvent un peu à compter les points en 2009.

Avec Twitter, la donne a changé : les émetteurs s’expriment directement, sans filtre, rédigent eux-même (en tout cas pour ceux qui comptent vraiment), s’autorisent de la spontanéité. Et c’est évidemment sain, je serais assez mal placé pour m’en plaindre. Ils interagissent avec leur « public », entrent dans le débat d’idées (quitte à les morceler en micro-idées). Les journalistes y voient une belle occasion d’y piocher des petites phrases ou de court-circuiter des barrages de communicants probablement perçus comme lourds.

La tentation de penser que ces nouveaux canaux rendront bientôt inutiles les professionnels des RP qui entourent ces personnalités est forcément présente. Un échange sur Twitter vient de nous en donner une belle illustration.

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Mon pari Posterous

Longtemps que je cherchais un vrai service de blogging mobile qui réussirait à combler les lacunes de Twitter (très communautaire et mobile mais pas très pratique pour accéder aux images et vidéos). Puisqu’il est d’usage de se demander ce qui, après Second life, …/…, puis Facebook …/…, puis Twitter saura faire preuve d’attractivité pour les utilisateurs et les médias, je pense que Posterous est the next big thing. On me l’avait présenté comme une plateforme de blogging de plus, je m’aperçois depuis quelques jours que c’est beaucoup plus que ça.

posterous

Les fanatiques de réseaux communautaires diront que ce n’est pas nouveau (voir Tumblr, Twittpix et plein d’autres) : en fait, ce n’est pas tout à fait vrai.

D’autres diront que c’est techniquement simpliste : c’est justement ce qui en fait une pépite de mon point de vue, la simplicité ! Tous ceux qui peuvent envoyer un email de leur téléphone peuvent dorénavant poster en un clic des images en temps réel. Ca marche à tous les coups, plus de prises de tête avec le chargement d’une image qui prend des heures avant de planter parce que trop lourde.

Mais surtout, à l’usage, Posterous permet bien d’autres choses :

  • C’est un hub potentiel pour poster en même temps sur tous les autres réseaux (Twitter, Facebook, blog, FlickR, YouTube, Friendfeed…) grâce à la fonction « autopost ».
  • Il permet d’importer en un clic (« Share on Posterous » dans la Tool Bar du navigateur) une image trouvée sur une page web
  • Il ne s’arrête pas aux photos puisqu’il accueille vidéo et fichiers sont qu’il intègre automatiquement dans le message
  • Depuis son lancement en 2008, il permet les commentaires sur chaque billet
  • Il sera bientôt possible en Europe (comme dès aujourd’hui aux US) d’envoyer ses images par MMS

Bref, il ne manque plus qu’une communauté très active sur Posterous et dans un an, ce sera passé au 20h00 de TF1 (rendez-vous en août 2010). Paut-être même sans l’aide d’Ashton, Britney, Lance, Demi et les autres.

Mon Posterous est ici.