Pas là

Probablement pas de connexion jusqu’au 3 janvier. Si on me cherche, je serai par là…

Montréal sous la neige

Prépa Canada

C’est en famille à Besançon par – 10° que je suis parti préparer une visite Canadienne où Adrien nous annonce dans le désordre – 35°, de la neige, de la danse en ligne, du hockey, des bains finlandais, du patin à glace, des raquettes et un programme vsiblement bien chargé. J’ai fait le plein en lainage et Damart en tout genre.

J’en ai profité pour tester au passage l’exlusivité mondiale dont nous avait parlé Marlène, le tout à main nue pour marquer l’exploit…

Eric Besançon

My Major Company

C’est une bonne idée qui s’accompagne d’un bon buzz. La long tail incarnée. Parce qu’on a la musique qu’on mérite, My Major Company nous donne la main pour participer à la production d’artistes en herbe. Une véritable rationnalisation de l’émergence de succès venus (parfois artificiellement) du net tels que Koxie ou Kamini. C’est une chance donnée à ceux qui n’auraient sans doute jamais émergé, à l’instar du petit Jean-Jacques qui a encore du chemin à faire.

Je t’avais dit, tu m’avais dit

Ce que je connaissais de Jean Tardieu m’avait pour être franc laissé un souvenir assez terne, verbeux, inutilement ampoulé, un peu ennuyeux. Le Lucernaire que j’avais rapidement visité il y a longtemps m’avait semblé d’un autre temps, assurément pas le mien.

En assistant hier à la représentation de Je t’avais dit, tu m’avais dit à 21h30, mes appréhensions ont été balayées d’un coup. En enchaînant des morceaux choisis de l’oeuvre de l’auteur, le spectacle profite de plusieurs atouts au premier rang desquels l’incroyable mise en scène de Christophe Luthringer. Un véritable exploit dans un espace aussi petit. Parmi les autres atouts : l’excellent jeu des acteurs sur une série d’exercices pourtant périlleux, le rythme tourbillonnant qui procure la sensation jouissive de ne profiter que du premier niveau de lecture d’un texte qui en recèle beaucoup plus, la musique omniprésente sous différentes formes parfois inattendues et délirantes ou la folie des costumes aux codes couleurs déclinés des chaussures jusqu’aux bonnets de bain.

Je t’avais dit, tu m’avais dit tardieu

Au-delà du quotidien de 3 couples, Je t’avais dit, tu m’avais dit se joue tour à tour de l’incommunicabilité, la quête d’identité, l’infidélité, la passion dévorante, l’intrusion dans l’intimité, la mort, la vie surtout. L’exercice de style relève le génie d’un Tardieu redevenu incroyablement moderne dans son sens de l’absurde et du délire. Il laisse deviner une implication particulière de tous les artistes qu’on pourra vérifier plus tard. 

La salle rouge rénovée et agréablement confortable du Lucernaire participe à faire défiler les 95 minutes du spectacle un peu trop vite. La petite salle incroyablement remplie pour un mercredi soir hivernal est passée de la froideur de circonstance à un bel enthousiasme final devant une bataille de polochon régressive à souhait.

Le restaurant bar du Lucernaire, beaucoup plus grand que dans ma mémoire, accueille vers 23h00 la troupe du spectacle. Le metteur en scène semble ne pas avoir fini de bouillonner d’idées, il raconte le travail -réparti sur 12 mois- de création , les semaines de répétition, les postures de mise en scène abandonnées avant de rejoindre ses acteurs.

L’un des acteurs -Laurent Gérard- prend le relais pour confirmer que le projet est né de l’envie originelle d’un metteur en scène de réunir des acteurs qu’il apprécie. Il relativise la difficulté d’enchaîner tous les jours une « grosse production » (un type dans le genre de Napoléeon au Théâtre Edouard VII) avec une entreprise visiblement plus personnelle. C’est lui qui clôt tous les soirs la pièce en invitant les spectateurs à faire fonctionner le bouche à oreille, dans la vraie vie ou sur Internet. Je réponds à l’appel avec plaisir : laissez-vous (em)porter par le douce folie de Je t’avais dit, tu m’avais dit !

Desperate Houseguy

La grève des scénaristes m’a sauvé d’un week-end voué à la déprime. Mon truc, c’est de regarder les séries d’un bloc, histoire de pas attendre 1 à 2 semaines entre chaque épisode. La grève toujours en cours des scénaristes compromettant sérieusement la probabilité d’une suite pour la saison en cours de toutes les séries américaines, j’ai décidé que ça m’autorisait à m’envoyer les 9 épisodes de Desperate Housewives qui viennent d’être diffusés depuis septembre. Et je n’ai pas été déçu.

Je ne sais pas si les scénaristes avaient prévus le coup mais là où la dernière saison était de bonne facture avec un épisode 7 en point d’orgue et un peu de routine pour tous les autres, cette année, peu de routine, de l’accélération, du drôle vraiment drôle (une partie de mime mémorable dans l’épisode 3), du triste vraiment triste (Lynette et son cancer….) et même un cliffhanger digne d’une fin de saison pour l’épisode 9.

Desperate housewives Saison 4

Toutes les actrices sont comme d’habitude excellentes, les meilleures performances revenant cette année encore à Felicity Hufman aussi brillante dans le drame que la comédie. C’est à elle qu’on doit le cri du cliffhanger, que seuls les plus masos d’entre-vous découvriront en cliquant ci-dessous. Bien sûr, c’est plein de spoilers (révélations sur la saison) alors ne cliquez que si vous faites partie de ceux qui, comme moi, aiment parfois lire les dernières pages d’un livre avant de le débuter.

Ma semaine en image

Suffisamment de travail cette semaine pour passer à côté de quelques rendez-vous qui figuraient en bonne place dans mon agenda. Je ferai mieux la semaine prochaine…

J’ai reçu cette image là une bonne dizaine de fois par email et sur mon Facebook. Trop de réseau tuerait-il le social ? Gros coup de fatigue de mon côté sur le microblogging qui entraîne un peu trop de micro-pensée à mon gout. Je comptais sur le Web3 pour redynamiser mais à distance, je n’ai rien vu venir.

Joan Van Ark Surgery

Par le plus grand des hasards, j’ai beaucoup entendu parler de chirurgie esthétique en cette semaine où la tentative ratée de rajeunissement extrême de Joan Van Ark (que les fans de Côte Ouest reconnaîtront à droite sur la photo) a provoqué un véritable déferlement de cris d’horreurs sur le net (voir à gauche sur la même photo…).

C’est la première candidate de télé réalité chantante qui détient ce petit grain de folie qui n’avait touché jusque là que quelques garçons. Son style rock me va bien et relève le niveau d’une Star Ac 7 qu’elle est la seule à me donner envie de regarder.  En plus, elle a un petit je ne sais quoi (privé ?)  qui me rappelle furieusement copine du sud que j’étais vraiment content de retrouver en blog cette semaine.

Début de buzz Los Vivancos

Pendant que la chanson du dimanche (le blog est ici), née sur le net, fait un véritable carton dans les médias traditionnels, de Libé au Journal de 20h00 de France 2 de ce soir en passant par France Info, Le Monde et 20 minutes (j’aimerais connaître l’auteur du communiqué de presse !), une autre histoire née à la télé commence à frémir sur le net et risque de connaître son point d’orgue ce mardi soir.

Parmi les 5 finalistes de l’émission Incroyables Talents se trouvent 7 frères espagnols aussi habiles dans l’art du flamenco claquettes que celui du strip tease sexy qui ne laisse pas indifférents deux des trois membres du jury, je vous laisse deviner… Seul petit problème, le groupe Los Vivancos semble moins amateur que les autres participants. Déjà célèbres en Espagne, ils étaient en début d’année sur la scène de Bercy avec Mylène Farmer, disposent de leur site Internet avec photos très pros à l’appui, se produisent à la fin du mois à Madrid.

Los Vivancos Bercy

Alors qu’ils se positionnent largement en haut du classement des téléspectateurs, les forums commencent à faire émerger les Pour « on s’en tape, ils sont bons » et les Contre « laisser les militaires castra amateurs combattrent à armes égales ». Vous avez la journée pour confirmer ou inverser la tendance ici.

Los Vivancos

Agenda de la semaine

Lundi : les Fleurs du Mâle de Gaultier nous promet de fêter le nouvel hédonisme sur les balades fold de Hey Hey My My. J’y serai, très en retard, mais j’y serai…

Mardi : Meet Ten privée à 3

Mercredi : à l’occasion de la sortie en salle de Bee Movie, dernier film des studios DreamWorks, Passage Pieton lance avec Upian un jeu qui vise à aider l’association SOS Villages d’Enfants. N’attendez donc pas ce 12 décembre pour courir butiner…
 

La soirée sera placée sous le signe de la détente et du zen avec séances de massage à la clé, l’ensemble promis par les You to You. Ca ne se rate pas.

Jeudi : dîner de Noël avec mon équipe. Du coup, je ne serai pas à la soirée Ladies Room qui attise pourtant ma curiosité.

Vendredi : visite des nouveaux locaux de mon pote Laurent.

Un peu chargé, je ne vois pas exactement où caser la mission cadeaux de Noël que j’ai raté ce week-end pour cause de grippe qui ma laissé sous la couette toute la journée. Tout juste eu le temps de voter pour la Journée du Bonheur

Buzz et culture

La musique et le cinéma constituent deux terrains de jeux privilégiés pour le buzz, ce n’est pas nouveau. Deux exemples dans les domaines du cinéma et de la musique.

Le buzz Cloverfield a débuté il y a plusieurs mois déjà. Le titre du film a été confirmé avec un site internet (en français ici) et une deuxième bande-annonce teaser qui tourne beaucoup sur les sites américains depuis le 20 novembre. La question est : mais c’est quoi ce monstre qui décolle la tête de la statue de la Liberté en un clin d’oeil ? Réponse en janvier aux US et en février en France.

Côté musique, j’ai reçu aujourd’hui un email de Audrey Nobis, membre féminin du groupe Audriel dont le premier clip est vraiment bien (à regarder jusqu’à la fin !) et propose quelques originalités sur son site avec notamment un concert à la maison à gagner. La question est : qu’est-ce qu’il va se passer s’ils osent s’approcher ?. Pas de teasing inutile, la réponse est dans le clip…