J’avais promis d’éviter tout show off exagéré, j’étais presque prêt à me limiter sobrement à une simple photo comme ça, en passant, business as usual… J’aurais voulu. Vraiment. Mais, finalement, peux pas.
Tout a commencé ici avec un petit message de fan parmi d’autres qui m’a valu un pic de visites sur ce blog (dingue le nombre d’internautes qui tapent “Zabou” dans Google…). Puis grâce à Laurent-et-Isabelle-qui-peuvent-dorénavant-me-demander-tout-ce-qu’ils-veulent : la rencontre. Après rectification de ma grossière erreur sur “les noms en compétition chez Dorothée”, on a pu échanger sur son second film en tant que réalisatrice (et co-scénariste), l’homme de sa vie, que j’attends avec impatience “même si j’aurais bien aimé une comédie”, puis enchaîner une bise et une photo juste pour m’assurer que je l’avais pas rêvé.
J’avais promis la preuve en image. A tout ceux qui se demanderaient pourquoi je regarde tout sauf l’objectif avec une tête de raton laveur neurasténique désespérément à la recherche de neurones, c’est juste pour justifier une autre photo la prochaine fois. Evidemment, j’ai honteusement recadré celle-ci pour n’y laisser que 2 personnes choisies totalement au hasard. N’empeche, je suis trop fier, au cas où ce n’était pas clair, Zabou fait partie des rares personnalités que je rêvais de rencontrer. C’est con un fan, non ?